En mars 2012 François Hollande, lors d’un meeting consacré à l’Outre-mer à Paris, déclarait : « Il n’y a pas de place dans la République pour la race. Et c’est pourquoi je demanderai au lendemain de la présidentielle au Parlement de supprimer le mot “race” de notre Constitution ».
En octobre 2015, les députés et sénateurs Front de gauche réclament que le gouvernement inscrive à l’ordre du jour du Sénat une proposition de loi sur la suppression du mot « race » dans plusieurs textes de loi : code pénal, code de procédure pénale et loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Récemment, Manuel Valls, dans son action Novlangue, s’est déclaré prêt à retirer le mot « race » des textes de loi et de la Constitution.
Manifestement, les prédictions du roman 1984 de Gorge Orwell sont en train de se réaliser, entre autres via la Novlangue.
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